Mon cher univers
De sa beauté simple, charmé par les magnificences terrestres, les constellations célestes ; émerveillé de la valeur modeste d’une pierre ; le rêveur en proie à la sagesse, porte avec lui l’espoir.
Que naisse le temps pour croire. Pourrait-il voir un rêve en une fin funeste ? Celui dont le chemin le nourri de joie, de tristesse, et de sentiments auxquels il choit ?
L’habitude de croire, face au sacrifice, le guide vers ce chemin de lumière.
Il a pu voir plusieurs fois que sa foi personnelle l’emmena au loin. Vers le ciel, d’où viennent ses songes attachants.
Il choisit, lorsqu’il traduit son miel exquis aux siens, de dire que sa vision du rêve, sa mission souveraine, il la puise dans l’informel; le temps d’un mot bienveillant.
Il court et hoche de la tête, face au discours aberrant des égoïstes; qu’il écoute sans jugement mais avec peine, se vanter d’épopées héroïques, dans un silence terne.
Parfois il rêve mal. Il ne croit plus. Mais lorsqu’il revient à lui, et trouve sur sa route déserte un fruit juteux; apaisé; il continu son chemin avec le souvenir de l’épreuve, vif, l’esprit aiguisé.
La sagesse à laquelle il se destine, sa vision incroyable du monde, produit au fur et à mesure une onde qui se dessine.
Que naisse le temps pour croire, le temps de voir. Il n’a que faire d’un miroir, il vit son rêve à temps.